par Jean-François Lefèvre
05 avril 2012 - 16h18

Hell Driver 3D

VO
Drive Angry
année
2011
Réalisateur
InterprètesNicolas Cage, Amber Heard, David Morse
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Voilà une série B bête et bruyante qui assume pleinement son ascendance Grindhouse. Milton (Nicolas Cage) veut se venger de Jonah King (Billy Burke) qui a tué sa fille et kidnappé son bébé. Il sera épaulé dans sa quête par une jolie blonde prénommée Piper (Amber Heard)...

Hell Driver a beau ne pas se prendre au sérieux, cette distraction décomplexée n'a malheureusement plus rien à offrir au bout d'une heure. Toutefois, pendant cette première heure, on savoure l'absurdité des situations et des dialogues, le défilé de bimbos dénudées et les nombreux effets gore qui garnissent chaque bagarre. Kitch et parodique à souhait, Hell Driver n'est pas le ratage annoncé. Encore faut‑il savoir le prendre du bon côté…

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Drive Angry
- de 12 ans
Prix : 29,99 €
disponibilité
23/07/2011
image
1.85
HD 1 080p (MVC 3D)
16/9 natif
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
sous-titres
Français
7
10
image
En 2D, aucun problème. Même si la photo n'est pas d'une grande qualité, les couleurs crèvent l'écran et la définition est splendide. Côté contrastes, c'est aussi un sans-faute du début à la fin. En revanche, en 3D, c'est hyper-décevant. Hormis quelques plans suggestifs sur l'arrière-train d'Amber Heard et de sa Dodge Charger, la 3D tombe à plat.
8
10
son
Comme prévu, nous avons à faire à une bonne grosse bande-son de camionneur avec des giclées de sang qui éclaboussent les enceintes arrière, des détonations de fusil à pompe qui résonnent, des guitares rock bien grasses, des basses qui cognent et des gnons qui pleuvent à chaque baston. Bourrin mais sympa.
3
10
bonus
- Commentaires audio de Patrick Lussier et Todd Farmer
- Mode de visionnage en PIP avec interventions des comédiens et images du tournage
- Making of (18')
- Exactions de Nicolas Cage montées façon jeu vidéo (9')
- Interview de Nicolas Cage (11')
- Scènes coupées avec ou sans les commentaires audio du réalisateur et de Todd Farmer (1')
Était-il vraiment utile d'injecter tous ces bonus ? Le film se suffit amplement à lui-même.
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