Il faut se rendre à l'évidence, au fil des films et des séries animées, la créature du Predator a tant évolué qu’elle est désormais difficile de cerner son essence. Ajoutez une réalisation plutôt plan‑plan et chiche en scènes de chasse, un robot cabossé (Elle Fanning qui fait tout ce qu'elle peut mais reste difficilement crédible dans le rôle du grand méchant), et ce nouveau Predator : Badlands, en salles depuis le 5 novembre, en décevra plus d'un.
Critique complète à découvrir en cliquant sur Predator : Badlands.