New York 1997
Escape from New York
Année : 1981
Réalisateur : John Carpenter
Casting : Kurt Russel, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasance
Éditeur : StudioCanal
BD : BD-50, 99', zone B
Genre : science-fiction, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 28/10/08
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 5.1
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Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français (imposés sur la VO)
1997. Suite à une augmentation phénoménale du taux de criminalité, les autorités américaines ont transformé Manhattan en immense prison à ciel ouvert où règne le chaos. Un système de surveillance électronique empêche toute évasion. Les ponts reliant le quartier au reste de la ville ont été truffés de mines.
Un soir, l'alerte générale est donnée : un commando terroriste a détourné l'avion du président des États‑Unis et l'a fait atterrir au cœur de l'ancienne métropole. Les autorités décident d'envoyer un mercenaire pour le récupérer, Snake Plissken, ex‑détenu et franc‑tireur.
Inédit en HD et proposé à un tarif préférentiel par l'éditeur, New York 1997 n'est malheureusement pas au niveau technique attendu. Reste à apprécier une fois de plus la tonalité du film de Carpenter, sa sécheresse, sa musique et le charme de baroudeur borgne de Kurt Russel, parfait en Maverick hawksien. Un classique de l'anticipation ayant fixé la plupart des codes cinématographes du début des années 80, de Mad Max à New York ne répond plus.
Jean-François Lefèvre - Publié le 23/10/08
Bonus
Image
C'est sombre. Très sombre même. Les diffuseurs devront être parfaitement calibrés pour profiter correctement de ce gonflage HD. Grain et bruit restent également présents, même si tout a été fait pour limiter leur impact. Certaines séquences s'avèrent donc un peu justes au niveau de la définition. Même chose pour les contrastes lors des séquences extérieures, dont les noirs ont bien du mal à décoller. |
Son
Du DTS-HD pour la frime. L'ensemble ne s'envole jamais. Même si quelques petits effets tapissent les canaux surround, les deux versions manquent de matière, de punch dans les graves et d'amplitude sur les scènes d'action. Les bruitages et les voix aussi paraissent datés. La musique, en revanche, gagne en dynamique et en éloquence. À choisir, mieux vaut privilégier la VO, plus précise. La VF a tendance à résonner. |