Une mère
Année : 2015
Réalisateur : Christine Carrière
Interprètes : Mathilde Seigner, Kacey Mottet Klein, Pierfrancesco Favino
Éditeur : Blaq Out
DVD : DVD-9, 96', zone 2
Genre : drame, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 19/11/15
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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SD 576i (Mpeg2)
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16/9 compatible 4/3
Bande-son
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Français Dolby Digital 5.1
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Français Dolby Digital 2.0
Sous-titres
Français pour malentendants
Après Catherine Deneuve dans La tête haute, c'est au tour de Mathilde Seigner de se frotter à un enfant violent et incontrôlable dans Une mère.
L'histoire de Marie, mère divorcée, qui ne sait plus comment faire pour cadrer son fils rebelle et qui pourtant tente de le couvrir pour toutes ses bêtises, y compris les plus graves... Car avec ses copains, un soir, Guillaume a fauché un homme sur le bord de la route et l'a laissé entre la vie et la mort.
Si les émissions TV sur les relations conflictuelles entre parents et enfants se multiplient (Pascal, le grand‑frère et SOS, ma famille a besoin d'aide en sont de parfaits et bien tristes exemples), au cinéma, le thème est rarement abordé.
Raison de plus pour découvrir ce film qui tient avant tout sur l'interprétation de Mathilde Seigner, oscillant habilement entre la trouille de découvrir cet être dangereux et réellement asocial (presque anormal), et l'envie de le protéger coûte que coûte.
En filigrane, le film pose assez bien la question de l'amour maternel et de ses limites. Peut‑on tout accepter de ses enfants ? Quand et comment dire stop ?
Éric Le Ven - Publié le 10/11/15
Liste des bonus
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Bande-annonce |
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Documentaire Jérôme, c'est moi... réalisé en 2001 (58') |
Commentaire
Le documentaire de Christine Carrière s'attarde pendant près d'une heure sur la vie et les difficultés rencontrées par Jérôme, 16 ans. Un complètement judicieux au film. |
Image
Une image aussi fade que la vie de Mathilde Seigner dans le film. Les couleurs sont ternes, les contrastes manquent de tonicité, et même si la définition reste correcte, l'ensemble ne respire pas la joie de vivre. |
Son
Entre la musique abrutissante qu'écoute le grand bêta de Mathilde Seigner et le soutien musical discret d'Éric Neveux, la bande‑son est assez déroutante. Malgré la présence d'une piste 5.1, elle ne laisse pas de trace impérissable. |