De format standard, nos cinq platines BD vidéo ne dérogent pas à la règle des 43 cm de large, exceptée la Philips qui affiche 43,5 centimètres. Elles logent donc, sans problème, en lieu et place d'un classique lecteur DVD. En prime, elles sont peu épaisses. La plus imposante est la Philips BDP3100 avec 6 cm de haut, contre 3,6 cm pour la Sony BDP‑S370, la plus fine du lot.

Côté esthétique, le noir est de mise. Sans compter d’autres points communs : le tiroir est placé sur la gauche, le port USB Host est en façade sur la droite… Signes d'une architecture interne sensiblement homogène d’un modèle à un autre. En revanche, côté fonctionnalités liées à la liaison HDMI, la Toshiba BDX3100 oublie le xvYCC et la LG BD560 le Deep Color. De leur côté, la Samsung BD‑C5300, la Sony et la Philips ne font aucune impasse. Enfin, heureusement, toutes proposent le CEC et le High BitRate audio.

Niveau consommation, toutes les platines se situent sous le watt symbolique en veille. En fonctionnement, la Samsung se distingue par un simple 10 W (en moyenne) à la lecture d’un BD vidéo. La Sony en pareille situation consomme 12 W, la LG 14 W, la Toshiba 14,5 W et la Philips 15,5 watts. À noter, elles imposent toutes la présence d’une clé USB d’au moins 1 Go pour exploiter la fonction BD Live. Et alors que tous ces modèles se mettent à jour via le réseau, le lecteur Toshiba nécessite d'utiliser le port USB.