Big Sky saison 1
Année : 2020
Créateur : David E. Kelley
Casting : Katheryn Winnick, Kylie Bunbury, Brian Geraghty, Dedee Pfeiffer, Natalie Alyn Lind, Ryan Phillippe
Éditeur : Star/Disney+
VOD : VOD, 9 x 42'
Genre : drame, couleurs
Interdiction : - de 12 ans
Sortie : 23/02/21
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.78
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français Dolby Digital Plus 5.1
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Anglais Dolby Digital Plus 5.1
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Allemand Dolby Digital Plus 5.1
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Italien Dolby Digital Plus 5.1
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Portugais Dolby Digital Plus 5.1
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Espagnol Dolby Digital Plus 5.1
Sous-titres
Français, anglais, allemand, danois, espagnol, italien, néerlandais, norvégien, portugais, finnois, suédois
Adaptée de la série de romans de C.J. Box, qui a fait du garde‑chasse Joe Pickett un enquêteur de récits policiers, Big Sky est sans doute la série la moins typée de David E. Kelley, le créateur d'Ally McBeal, Big Little Lies ou The Undoing.
Tout commence au cœur du Montana, quand deux sœurs et une prostituée locale se font enlever par un routier coincé quelque part entre Duel et Psychose. Les belles références s'arrêtent malheureusement vite tant l'ambiance tendue du départ se dilue avec l'arrivée de trois détectives privés locaux ‑deux filles et un garçon‑ qui recentre l'intrigue moins sur l'enquête en cours que sur le trio amoureux aux contours flous. Lancé dans une course contre la montre effrénée pour sauver les victimes avant qu'il ne soit trop tard, le « club des trois » se heurte bientôt à un patrouilleur local aussi effrayant qu'un grizzly shooté au miel.
Bienvenue en contrée Disney, un endroit où même quand on s'appelle David E. Kelley, on se doit de gommer les aspérités sur l'autel de la bonne conscience. Hormis le physique particulièrement canon de ses deux actrices principales, tout un vestiaire de chemises à carreaux, de belles boucles de ceinture du cru et un label girl power gros comme un camion, Big Sky ne parvient jamais à explorer les ressorts country de son récit. Dommage pour le côté polar.
Carina Ramon - Publié le 05/04/21
Bonus
Image
Le Montana qui sert de toile de fond à cette enquête en jupons apporte une petite touche nature bienvenue. Elle reste toutefois assez superficielle et ne doit surtout pas effrayer. Le pompon revenant à la scène de la cérémonie d'adieu dans une grange décorée comme pour un mariage, particulièrement quiche et pas crédible une seconde avec son esthétique guimauve. Une image tirée au cordeau mais qui manque cruellement de personnalité. Dommage, question technique, tout était là, à commencer par des contrastes et une précision en acier. |
Son
Ambiance sonore « très série » et pas des plus haut de gamme. Tout est en revanche bien clair et les ambiances ne font pas chiche, c'est déjà ça. VO plus que conseillée pour conserver le plus d'authenticité et de crédibilité possible. |