Voilà un domaine où nos cinq téléviseurs se distinguent les uns des autres. Certes, ils possèdent tous quatre entrées HDMI. Oui… mais le Sony ne fait pas comme les autres, il en propose deux sur le côté, contre une pour ses compères du jour. Dans le même genre, le Philips ne propose pas d’entrée audio‑vidéo, pourtant disponible chez tous les autres, sur le côté. Le LG se distingue avec deux entrées audio‑vidéo, une à l’arrière, une sur le côté. Mais c’est certainement pour compenser la présence d’une seule prise péritel, contre deux pour ses quatre adversaires. À noter également, le Philips se démarque avec une sortie audio coaxiale et non optique, comme c’est le cas sur les autres appareils.

Pour la section multimédia, l’absence de port Ethernet sur le Sharp est à signaler. Elle limite par conséquent ses fonctionnalités. Quant au Wi‑Fi, il est proposé de série seulement sur le Toshiba et demeure en option pour le Philips, le LG et le Sony. Là encore, le Sharp fait l’impasse. À savoir aussi, le Wi‑Fi monopolise à chaque fois un port USB Host. Le LG et le Toshiba, pourvus de deux ports, s’en sortent donc mieux à l’usage que le Philips et le Sony. Enfin, un lecteur de carte SD est proposé sur le Philips et le Toshiba. Seul souci, dans le cas du téléviseur Philips, une carte de 4 Go ou plus est obligatoire. Cette dernière est, de plus, formatée dans un standard spécifique et sert uniquement de stockage pour la VOD. En clair, et contrairement au Toshiba, ce lecteur ne permet pas de lire le moindre fichier multimédia stocké sur une carte SD.